mercredi 9 décembre 2009
Téléchargez l'introduction du livre « Web 2.0 : la communication iteractive »
mercredi 11 novembre 2009
En tout lieu, en tout temps Le web 2.0 en 3 concepts (partie 3)
jeudi 1 octobre 2009
Le web 2.0 en 3 concepts (partie 2) La nouvelle transparence
jeudi 20 août 2009
Le web 2.0 en trois concepts (partie 1) suite...
dimanche 28 juin 2009
Le web 2.0 en 3 concepts (partie 1) / L'érosion du pouvoir des communicateurs
jeudi 4 juin 2009
Tentons de nous y retrouver un peu...
Certains d’entre vous le savent, je travaille présentement à la rédaction d’un livre qui suggère que le web, à cause notamment de sa dynamique de démocratisation, est en voie de bouleverser les fondements mêmes de la communication des organisations. Je ne suis pas seul dans l’aventure, puisque l’ouvrage sera rédigé en collaboration avec Emmanuelle Guyot, une collègue dont j’ai fait la connaissance l’an dernier lors d’un passage au CELSA, l’école de communication de la Sorbonne à Paris.
Tout cela pour dire que ce projet emballant m’amène à faire beaucoup de vigie sur Internet et mes prochains billets, avis aux intéressés, seront largement inspirés des réflexions que suscitent mes « dérives » de navigation sur le Net.
La simplicité, version 2.0...
Une des premières tâches auxquelles je me suis astreint en préparant ce livre, c’est d’inventorier et de définir les concepts clés du web comme tels. Le moins qu’on puisse dire, c’est qu’il règne une « joyeuse » confusion entre experts sur les termes et les visions entourant le web. Plusieurs expressions sont confondantes et sont utilisées par certains comme synonymes alors que d’autres les utilisent pour désigner des réalités différentes.
- Par exemple, les termes « médias sociaux », « réseaux sociaux », « web social », et « logiciel social » désignent-ils une seule et même réalité ou si des distinctions s'imposent?
- Et quelle réalité précise correspond au terme « web 2.0 » comme tel, car pour certains, il s’agit de technologies, d’applications ou de plateformes, alors que pour d’autres il s’agit plutôt des nouveaux usages que les individus inventent grâce à l’évolution technologique.
Le comble dans tout cela, c'est qu'à chaque jour ou presque, des nouveaux produits et applications s'ajoutent et entraînent avec eux la création de néologismes qui, pour l’essentiel, aident rarement à simplifier notre compréhension de tout cet univers. Bref, si on peut affirmer que les outils du web 2.0 sont caractérisés par leur grande simplicité, on ne peut pas en dire de même de sa terminologie!
Et devant tous ces gadgets, ces nouveaux outils de communication, comment faire la part des choses entre les innovations d’intérêt pour les communicateurs celles qui touchent plutôt les entrepreneurs ou les spécialistes en technologie de l’information et des communications?
Qu'est-ce qu'un communicateur doit maîtriser dans tout ça?
Et jusqu’où est-il nécessaire pour un communicateur de comprendre ce qu’est un « widget », un « mashup » ou un « flux RSS »? Ou encore de comprendre les principes du « référencement » des sites sur les engins de recherche, ou encore celui de la mesure de fréquentation des sites web?
Bref, quitte à contribuer davantage à la confusion, je vous propose dans mes prochains billets quelques tentatives de clarification pour nous aider, humbles « communicateurs analogiques » à y voir plus clair dans tout ce fatras numérique. Gros programme en perspective!
Prochain billet : le web 2.0 en trois concepts
mardi 26 mai 2009
Jean-François Codère au 3e mardi: la webdiffusion
dimanche 24 mai 2009
Internet, le média principal des Canadiens de moins de 35 ans
» le second, c'est que si la tendance se maintient, dans 8 ans, Internet sera le média de référence des... 55 ans et moins.
vendredi 22 mai 2009
Jean-François Codère au 3e mardi: rien à faire, je ne décolère pas!
JFC s'est lancé dans une présentation décousue, enfilant les clichés les plus éculés sur ce que sont ou ne sont pas les médias sociaux, sur la prétendue "pauvreté du contenu de la blogosphère et sur l'absence d'éthique qu'on y trouve". Désolant.
D'autant plus désolant que ce que M. Coderre ne semble pas saisir, c'est qu'avec ou sans son aval ou celui de ses collègues, les médias sociaux se taillent une place de plus en plus grande dans la vie des gens, pendant que les médias traditionnels eux, particulièrement les quotidiens payants, perdent du terrain. Voilà un fait implacable, qui entraîne la majorité des grands quotidiens de l'Occident dans une crise sans précédent et qui en amène plusieurs, pas les moindre, à fermer leurs portes.